Allégorie ? Scène de rue ? Boiry nous invite ici à une réflexion à niveaux d'interprétation multiples. En effet, d'abord intitulée "John Galliano lost his Pass'Navigo at Iena", l'oeuvre boiryenne a, par la suite, reçu de nombreux autres titres offrant autant de pistes interprétatives possibles, dans un aller-retour constant entre méta-critique des mondes des arts appliqués et mise en abyme des codes post-modernes de l'humour grinçant. "Les deux âges de la vie de la Fashion week", "Trouble in the season" ou encore le laconique "Salut" sont autant d'indices laissés au spectateur-acteur-de-son -activité-regardante qui, chaque fois qu'il contemple la poésie boiryenne, plonge délicieusement dans les profondeurs de la rêverie métaphysique, l'humour, radeau post-moderne sans équivalent, lui garantissant un retour à l'air du temps contemporain.
Allégorie ? Scène de rue ? Boiry nous invite ici à une réflexion à niveaux d'interprétation multiples. En effet, d'abord intitulée "John Galliano lost his Pass'Navigo at Iena", l'oeuvre boiryenne a, par la suite, reçu de nombreux autres titres offrant autant de pistes interprétatives possibles, dans un aller-retour constant entre méta-critique des mondes des arts appliqués et mise en abyme des codes post-modernes de l'humour grinçant. "Les deux âges de la vie de la Fashion week", "Trouble in the season" ou encore le laconique "Salut" sont autant d'indices laissés au spectateur-acteur-de-son -activité-regardante qui, chaque fois qu'il contemple la poésie boiryenne, plonge délicieusement dans les profondeurs de la rêverie métaphysique, l'humour, radeau post-moderne sans équivalent, lui garantissant un retour à l'air du temps contemporain.
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